Résumés d'étapes
L’appel du désert pour la 7e édition
L'excitation était palpable ce matin au rendez-vous fixé par l’organisation. L’aventure a commencé avec un retard d’avion de 3h hier soir pour une cinquantaine de participantes et organisateurs. Malgré tout, les sourires et les yeux qui pétillent étaient de la partie pour aborder l’aventure !
Les trekkeuses ont répondu joyeusement à l’appel du désert pour vivre la 7e édition. Une édition sous un nouveau format : 1 seule session, 5 parcours, 75 équipes !
Le bivouac installé au cœur des dunes s'est révélé après un peu plus de 3h de route. Notre équipe marocaine locale a tout donné pour construire un bivouac de rêve pour nos participantes et leurs réactions à la découverte ont été à la hauteur du travail réalisé. Elles ont fait leur entrée sous les applaudissements des organisateurs. Après l’effervescence du déjeuner et des vérifications administratives, les équipes se sont mises sérieusement au travail : tracer le parcours de la 1re étape de demain. Non sans avoir omis d’acheter une djellaba pour flâner au bivouac…
Cette année, 82 % des trekkeuses participent pour la 1re fois à au Trek Elles Marchent et n’ont jamais navigué. C’est dire la pression ! Elles se sont donc appliquées pour poser leurs points et calculer leur cap, en mettant en pratique les connaissances acquises lors du stage de navigation. Elles vérifieront demain sur le terrain si leur rigueur a payé…
Si toutes les participantes sont bien toutes présentes, il semble que certains bagages aient décidé de vivre leur propre aventure quelque part dans le vaste monde des bagages retardés ! Pas d'inquiétude, les esprits étaient légers, les cœurs joyeux et les trekkeuses sont prêtes à défier le désert avec le strict nécessaire... et une dose supplémentaire d'aventure inattendue !
NB : les bagages devraient être arrivés pour le petit déjeuner demain, on croise les doigts…
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Texte : Jessica Merono
Crédit photos : Eric Montgobert / Emilie Eychenne / Jean-Luc Ginolin
La première étape : une odyssée de confiance et de détermination
Le premier lever de soleil sur le Trek Elles Marchent s’est accompagné d’un léger vent, un souffle qui annonçait une journée riche en découvertes et en défis. Malgré tout, les masques n'étaient pas nécessaires, permettant aux trekkeuses de prendre le départ dans de bonnes conditions, entre appréhension et excitation.
Le travail de traçage des points sur la carte hier s’est révélé minutieux et appliqué. Le directeur de course a pu constater que très peu d'erreurs avaient été commises sur le papier. Cependant, l'heure était venue de transposer ces plans cartographiques dans la réalité, une tâche qui, comme toute trekkeuse le sait, peut-être aussi délicate que captivante.
Pour rejoindre la borne 1, les équipes ont entrepris une traversée en direction du nord, d'abord un petit erg, puis un reg en direction du tagine, une montagne qui se dessine comme un plat à tagine à l'horizon. Une fois un petit col franchi, la borne 1 s'est révélée, après quelques hésitations sur la couleur du parcours. Les trekkeuses novices, bien que pleines de ressources, ont souvent hésité et eu peur de se tromper.
Poursuivant l’étape en direction de la borne 2, les équipes ont traversé un chott et un autre reg avant de se trouver aux pieds d'une montagne. La zone d’évolution était entourée de nombreux reliefs et hamadas, offrant un panorama magnifique. La borne 2, nichée dans un fond d'oued, a posé des difficultés encore à certaines équipes suite à des erreurs de cap ou de distance. D'autres se sont laissées influencer par le trajet des équipes concurrentes, initiative soldée par des erreurs de parcours, ajoutant quelques kilomètres à leur journée.
Pour atteindre la borne 3, les trekkeuses ont grimpé un petit relief pour atteindre un plateau en direction du sud-ouest. Elles ont localisé la borne 3 à l'ombre des acacias. C'est là que s'est posée la question cruciale : relever ou non le défi qui vaut 100 points ! Un détour supplémentaire dans les cailloux a conduit les équipes vers un puits, où une photo devait être prise pour valider leur passage.
Enfin, le retour vers le bivouac s’est amorcé en traversant à nouveau l'erg du matin. L'arrivée des trekkeuses a été saluée par un mélange de soulagement et de joie, surtout pour les équipes novices en navigation. La leçon apprise aujourd’hui : avoir confiance en soi et persévérer coûte que coûte. Ces femmes ont non seulement marché à travers le désert, mais ont aussi traversé les barrières de leurs propres doutes, émergeant plus fortes qu’hier. Un premier pas remarquable dans cette aventure qui promet encore plus d'éclats de confiance et de détermination.
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Texte : Jessica Merono
Crédit photos : Eric Montgobert / Emilie Eychenne / Jean-Luc Ginolin
La deuxième étape : entre sérénité, défi et panorama époustouflant
Ce matin, le directeur de course est revenu sur l’étape d’hier lors du briefing. Il a insisté sur l'assurance et la confiance en soi, qualités cruciales pour une navigation efficace et qui ont, à certains moments, échappé à quelques équipes.
Les Wild Chicas - équipe 67 - ont fait preuve de sérénité, ce qui s'est traduit par une navigation presque parfaite, des bonnes réponses aux questions et un défi facilement relevé. Elles ont donc remporté la 1re étape et endossé pour aujourd’hui le précieux foulard rose, symbole des vainqueures d’étape.
La 2e étape s'est déroulée sur un terrain moins accidenté, plus plat mais pas sans difficultés. Pour atteindre la borne 1, un parcours diversifié a conduit les trekkeuses à travers une zone sablonneuse, un salar (lac asséché) et l'oued Ziz. La borne, astucieusement installée dans une zone dense de tamaris, compliquait la navigation sans points de repère évidents et a demandé aux équipes de manœuvrer habilement. De nombreuses équipes ont tâtonné, laissant ressurgir les doutes et le manque de confiance en elles.
Après avoir retraversé l'oued, les trekkeuses ont abordé l'ascension d'un col ensablé. Quelques dunes plus tard, la borne 2 était à portée de main. Elles l’ont trouvée facilement, gagnant en confiance. Leurs efforts ont été récompensés par une pause bien méritée. Elles ont ensuite effectué un presque demi-tour dans les dunes, parcourant 3 km jusqu'à la zone d'acacias en fond d'oued où la borne 3 les attendait, prélude au défi du jour.
Le défi, rendu obligatoire pour toutes les équipes de par sa situation stratégique sur le parcours, consistait à grimper une falaise ensablée jusqu'à la barre rocheuse. La pente abrupte donnait l'impression de reculer à chaque pas, exigeant de monter presque à quatre pattes. À mi-parcours, des cordes installées par l'organisation ont permis une ascension plus facile, jusqu'à la récompense ultime : un panorama à couper le souffle sur le désert.
Nos vaillantes trekkeuses ont rejoint le bivouac dans un mélange de soulagement et de fatigue. Le retour depuis le défi a semblé un peu long, mais heureusement, elles semblaient plus satisfaites aujourd'hui de leur navigation. Plus à l'aise, plus confiantes, ces femmes extraordinaires sont prêtes à affronter ce que demain leur réserve pour la 3e étape.
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Texte : Jessica Merono
Crédit photos : Eric Montgobert / Emilie Eychenne / Jean-Luc Ginolin
La 3e étape à l’assaut des dunes et du sable
Le directeur de course a salué la résilience des trekkeuses durant la 2e étape lors du briefing matinal, soulignant que cette édition était tout simplement "émouvante". Un mot qui a touché nos trekkeuses, à la hauteur du défi de ce vaste désert.
La journée s'annonçait comme un challenge : 25 km, dont 13 km dans le sable. Les trekkeuses savaient que ce serait une journée où la ténacité et le mental seraient déterminants. L’équipe 51 – El Bacoot’ – a pris le départ avec le foulard rose de vainqueures de l’étape 2 ce matin.
Pour atteindre la borne 1, les équipes ont marché en direction du nord-est à travers un erg où les dunes s’enchainaient les unes après les autres. Les bornes, installées au sommet de petits monticules de pierre, ont ajouté une dimension supplémentaire au défi de la navigation. La précision était la clé pour éviter les erreurs et ne pas avoir à grimper chaque monticule pour trouver la borne du bon parcours. Défi réussi pour beaucoup d’équipes, d’autres moins précises ont cherché et tourné un peu avant de trouver la bonne borne.
L’étape s'est poursuivie vers le sud, en traversant un reg avant d’entrer à nouveau dans les dunes pour trouver la borne 2 à proximité du bivouac. Dans cette zone, il était nécessaire de contrôler son cap très souvent pour ne pas dévier. Sans grande difficulté pour les trekkeuses qui ont atteint la borne 2 assez tôt pour la majorité.
Les équipes ont ensuite affronté une nouvelle fois la zone dunaire en direction de la borne 3, nichée en fond d'oued au pied des montagnes. De là, une vue imprenable sur le tagine s'est offerte à elles, une récompense pour leur persévérance.
Les trekkeuses ont repris la marche vers le défi... en traversant encore un erg ! Des tentes traditionnelles les attendaient et les femmes berbères leur ont proposé des tatouages au henné, preuve de leur passage au défi.
Ultime effort pour rejoindre le bivouac : du sable, encore du sable ! Les trekkeuses sont rentrées au bivouac tout en joie et en émotion. La marche dans le sable, avec ses défis complexes a été une opportunité pour ces femmes de puiser dans leur force intérieure. Elles ont tenu bon, elles nous ont impressionnés !
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Texte : Jessica Merono
Crédit photos : Eric Montgobert / Emilie Eychenne / Jean-Luc Ginolin
La 4e étape : la dernière vague de victoires
Au briefing ce matin, le directeur de course l’a concédé, il a été bluffé ! Les trekkeuses ont fait des progrès remarquables en navigation et toutes les équipes étaient rentrées avant 20h hier soir. Ce qui n’est pas si courant après une étape disputée pour moitié dans le sable et sous la chaleur. L'équipe 34 a pris possession des foulards roses de vainqueures d'étape ce matin.
La 4e et dernière étape aujourd’hui a été un vrai tourbillon de sensations ! D'abord, la météo avait décidé de faire des siennes avec un vent prévu à 50km/h. Ça soufflait un peu ce matin, mais à la mi-journée, tout s’est calmé d’un coup. Et vu le défi qui attendait les trekkeuses, c’était plutôt une bonne chose.
Les équipes sont parties vers la borne 1 située après une zone de dunes puis d'herbes à chameaux. Elles ont rapidement enchainé en direction de la borne 2 à travers une vallée serrée. Pas de grandes difficultés, en ce 4e jour d'épreuve, les trekkeuses ont appris à caper avec efficacité.
Puis, cap au sud, entre deux montagnes, pour atteindre un point de convergence au pied d'une montagne imposante. Là, le but était de canaliser les équipes pour l'ascension et la descente d'un col caillouteux. L'organisation avait tout balisé et des membres de l’organisation étaient disséminés partout pour assurer la sécurité des concurrentes.
Du sommet de la montagne, c'était un panorama à couper le souffle, quasiment 360 degrés de montagnes et de plaines avec des acacias d'un côté et de l'autre l'erg Ouzina. La descente un peu glissante dans les pierres a mobilisé toute la concentration à chaque pas.
Et parce qu'on aime les défis et qu’il fallait finir en beauté cette 7e édition, les trekkeuses ont ensuite grimpé la plus haute dune d’Ouzina en suivant le serpentin de la crête. Là-haut, elles ont chacune rempli une petite bouteille de sable en souvenir et pu contempler un moment le magnifique panorama sur le désert. Les trekkeuses ont laissé aller leurs émotions : fierté, joie, fatigue, gratitude, soulagement, tout cela mélangé !
Il était temps de reprendre le cours de l’étape, les équipes ont enchaîné avec la borne 3, posée sur des petits monticules en fond d'oued. Le retour au bivouac, sans grande difficulté sur du plat sablonneux, a été comme une révélation : l'étape touchait à sa fin. Et le Trek Elles Marchent aussi. Sur la ligne d’arrivée, le vent a à nouveau soufflé très fort pour accueillir nos trekkeuses. Corinne Péron leur a remis à chacune la médaille de l’édition et leur a dit toute la fierté qu’elle avait pour elles d’avoir accompli ce défi. Entre des fous rires, quelques larmes et des "on l'a fait !", les trekkeuses ont compris que cette aventure était bien plus qu'une simple marche dans le désert.
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Texte : Jessica Merono
Crédit photos : Eric Montgobert / Emilie Eychenne / Jean-Luc Ginolin
L’élan de solidarité au cœur du Trek Elles Marchent
Les trekkeuses ont pu dormir 30 minutes de plus ce matin. Au lever su soleil, toutes se sont retrouvées au cœur du bivouac pour la chorégraphie, sur le rythme africain du titre de Christophe Maé « L’Amour ». Un début de journée joyeux et entrainant qui a donné de l’énergie à nos participantes avant d’attaquer la journée solidaire au village de Ramlia.
Plusieurs ateliers étaient organisés et il y avait beaucoup de travail. A l’école tout d’abord, où deux groupes ont dessiné des fresques sur les murs de la cour de récréation. Les trekkeuses ont mis en commun leurs idées pour réaliser ces deux œuvres colorées et poétiques grâce à leurs talents artistiques. Un autre groupe s’est occupé d’installer des poteaux de foot et de planter des ficus dans la cour. Un travail difficile tant le sol est dur, sec et pierreux.
Des participantes, dentistes de profession, ont expliqué aux enfants de l’école comment se brosser les dents efficacement. Un atelier ludique réalisé avec des dessins et une démonstration sur une mâchoire géante qui a ravi les enfants. De l’autre côté les membres de l’équipe 72 – Armonia- ont offert 4 ordinateurs portables à la directrice de l’école grâce à la participation financière de leur employeur. Un cadeau grandement apprécié par cette petite école qui dispose de peu de moyens.
Au cœur du village, des trekkeuses se sont mises au travail pour rénover une maison en mauvais état, le pisé qui recouvre les murs extérieurs et qui sert de crépi avait besoin d’être refait. Pendant que certaines foulaient au pied le mélange de paille, de terre et d’eau, d’autres portaient les sacs pour les amener à celles qui recouvraient les murs. Tout près, un autre groupe s’est attelé à refaire le toit sous la direction d’un architecte. Leur travail a consisté à restaurer l’étanchéité du toit avec de l’argile.
Enfin un dernier de groupe s’est occupé de planter des oliviers dans la magnifique palmeraie du village. A l’écart du village, irriguée par de petits canaux, cette palmeraie est un véritable havre de paix et de calme où l’on entend les petits oiseaux chanter. Et c’est dans ce cadre enchanteur que toutes les participantes se sont retrouvées pour un déjeuner tardif mais paisible.
Enfin direction le bivouac pour profiter de la dernière soirée dans le désert. Cette année, le thème de la soirée c’était « rock et paillettes » et nos trekkeuses ont toutes joué le jeu ! Tout le monde, organisateurs et participantes, s’est retrouvé pour ce moment festif, animé par une pièce de théâtre « Starlettes, paillettes et cacahuètes » jouée par le Afabuleuses et par un concert privé de l’artiste Charlie Ohma.
Cette dernière journée dans le désert a été riche et joyeuse mais aussi productive. Les trekkeuses se sont relayées pour travailler et aller au bout des ateliers proposés. Elles ont fait preuve de volonté et d’une incroyable générosité, grâce à leurs bras pour réaliser les ateliers mais aussi par les dons de vêtements et de matériels qu’elles avaient apportés avec elles pour les habitants du village de Ramlia.
Entre rires, efforts et partages, ces femmes ont créé une onde de solidarité qui a résonné dans tout le désert. Alors que le soleil se couche, on garde cette énergie chaleureuse et le souvenir de pas qui ont fait bien plus que marquer le sable.
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Texte : Jessica Merono
Crédit photos : Eric Montgobert / Emilie Eychenne / Jean-Luc Ginolin
La remise des prix, la célébration d’une formidable aventure
Les trekkeuses ont quitté le bivouac pour revenir doucement à la civilisation. Après le transfert vers l’hôtel Xaluca à Erfoud, elles ont profité d’une après-midi de détente bien méritée. En fin de journée tout le monde s’est donné rendez-vous pour la soirée de clôture de cette 7e édition.
Le moment tant attendu de la remise des prix est arrivé, entre émotion et excitation, toutes les équipes ont découvert le classement général final de l’épreuve.
A la 3e place : l’équipe 48 – Les Suricates en folie
Ségolène, Ludivine, Asmae et Claire accrochent la 3e place du podium. Si Ségolène et Ludivine sont adeptes du Trek Elles Marchent depuis la 1re édition en 2017, Asmae et Claire n’avait jamais participé. L’une est originaire du Maroc et était ravie de venir se frotter aux champs de dunes et l’autre connaissait déjà la marche dans le désert et foule habituellement les plages de Californie où elle vit. Elles ont suivi leurs copines les yeux fermés et elles ont bien fait ! Le sourire accroché à leurs visages, les Suricates en folie ont disputé les 4 étapes ensemble et utilisé leur petit grain de folie dans les moments difficiles. Bravo à elles !
A la 2e place : l’équipe 49 – Les Cramponnées
Solenne, Katia, Astrid et Aurélie ont déjà participé au Trek Elles Marchent en 2022 et comme on ne change pas une équipe qui gagne, elles enchainent les aventures dans le désert ensemble. Cette fois, tout a failli commencer de travers pour Astrid dont le bagage était resté à Casablanca. Finalement il est arrivé à temps et elles ont pu vivre l’aventure sereinement. Pour leur retour parmi nous cette année, les Cramponnées étaient ultra motivées et cela a payé puisqu’elles progressent d’une place dans le classement final en terminant à la 2e place. Bravo à elles !
Enfin à la 1re place : l’équipe 60 – Chek My Trek
Jennifer, Claire-Aurore, Céline et Aurore avaient envie de s’octroyer un moment rien qu’à elles, de vivre une aventure collective et personnelle loin de leurs rôles de mamans. Par ailleurs, elles souhaitaient mettre en lumière les troubles de neurodéveloppement complexe (TND) autres que l’autisme déjà médiatisés. Les personnes qui en sont atteintes doivent faire preuve d’adaptation au quotidien face à un environnement parfois perçu comme hostile. Leur développement ne peut se faire sans une extrême bienveillance de leur entourage. Les Chek My Trek ont imprimé leur force et leur détermination à chaque pas dans le sable les menant sur la plus haute marche du podium. Leur nom d’équipe était pour elles leur cri du cœur pour dire : « On a osé, on l’a fait et on a réussi ! ». Et quel résultat ! Bravo !
Jennifer, Claire-Aurore, Céline et Aurore repartent chacune avec le bracelet offert par notre partenaire Courbet, joaillier éthique et responsable. Un cordon surmonté d’un bijou or et diamant de synthèse qui brille à leurs poignets.
Nous remercions chaleureusement tous nos partenaires pour leur soutien à l’organisation de cet événement qui célèbre les femmes.
La 7e édition du Trek Elles Marchent dans son nouveau format a été une pleine réussite, surtout grâce aux participantes, souriantes, avenantes, résilientes, courageuses. Des femmes fortes qui ont su révéler leur force intérieure malgré les difficultés rencontrées pendant l’aventure.
Le trek "Elles Marchent" s'achève, mais les souvenirs forgés dans le désert resteront intemporels !
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Texte : Jessica Merono
Crédit photos : Eric Montgobert / Emilie Eychenne / Jean-Luc Ginolin